Nagasaki
Même avec 500 000 habitants, Nagasaki reste très agréable à vivre. C’est notamment grâce à la baie paisible et aux petites collines qui
parcourent la ville.
Point gastronomie: le tonkatsu!
Hiroshima
Point gastronomie: l'okonomiyaki d'Hiroshima
Itsukushima
Kobe
On n'a même pas testé le bœuf ! C'est un peu comme visiter Annecy sans repartir avec des diots dans le buffet...
Seul point du japon autorisé à commercer avec le monde extérieur durant la période Edo au XVIIème siècle, l’île de Dejima a gardé les bâtiment du
style portugais et hollandais. A l'époque, l’île avait été construite de toute part, en creusant un canal au bout d'une péninsule, permettant d'isoler sur une ile les entrepôts et bâtiments de résidence des marchands hollandais et de contrôler fortement les échanges avec l'extérieur. Puis elle a été de nouveau absorbée dans la ville et les polders au XIXeme siècle lors du développement du port de Nagasaki.
Les entrepôts et habitations des marchands hollandais de Dejima
Le Glover garden, et ses maisons de style européen
construites pour les marchands étrangers au XIXeme siècle
Le petit Chinatown
Comme partout au Japon le Pachinko tourne 24h/24h
avec les papys sont aussi accros, malgré le bruit infernal
Coucher de soleil du haut du mont Inasa
Point gastronomie: le tonkatsu!
Arrêt dans un petit bistrot spécialiste de tout ce qui est katsu, "pané". Au menu: porc "tonkatsu", crevettes "ebikatsu", ou croquettes de pomme de terre, servis sur une salade de chou avec un bol de riz et la traditionnelle soupe miso, Oishiii.
Hiroshima
Un court arrêt à Hiroshima où l'on découvre le meilleur restau-bar du Japon. Les salaryman y viennent nombreux après le travail. Les serveurs et cuistos crient tous ensemble "irrashaimaseEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE" à chaque fois que quelqu'un entre.
Le dôme, le seul bâtiment à avoir "survécu" au bombardement, trône au centre de l'actuel peace parc, dédié à la mémoire des victimes.
Incroyable photo prise après le bombardement
Point gastronomie: l'okonomiyaki d'Hiroshima
Littéralement: okonomi お好み, « ce que vous aimez / voulez » et yaki 焼き, grillé. En pratique ça donne : une couche de nouilles, une couche de chou, une couche de sauce et de ce que vous voulez, on grille le tout à la plancha géante en tapant dessus et le tour est joué!
Itsukushima
Sur l'île d'Itsukushima, juste au sud d'Hiroshima, se trouve l'un des symboles du Japon le plus connu, le fameux torii rouge flottant. On ne pouvait pas ne pas y faire un détour. Et surprenemment, pas trop d'effet Mannekenpis: la porte est assez impressionnante, l'endroit est verdoyant, l'ambiance paisible autour des sanctuaire, et même les gâteaux souvenirs sont bons! Et si vous vous demandez pourquoi il y a une porte rouge sur l'eau, la réponse est que l'île est sacrée, et les torii délimitent l'entrée dans un endroit sacré. Auparavant, les pèlerins ne devaient pas poser le pied sur la terre pour ne pas souiller l'ile purifiée; le sanctuaire a donc été construit sur pilotis, et la porte de même!
Kurashiki
On avance, on avance. Nous voilà de plus en plus proche de Kobé. Mais on ne veut pas rentrer alors on fait un dernier arrêt, à Kurashiki, pile au milieu entre Hiroshima et Kobé. Ancien port de commerce, les marchands arrivaient sur le canal les barques chargées de sacs de riz et de barrils de saké, qu'ils stockaient dans ces entrepots blancs aux toits en tuiles noires (reconvertis en magasins de saké ou d'artisanat pour notre plus grand plaisir).
Kobe
On n'a même pas testé le bœuf ! C'est un peu comme visiter Annecy sans repartir avec des diots dans le buffet...
Un dernier bol de nouilles soba, et puis, oui, il va falloir rentrer....
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